Je ne sais pas si vous vous souvenez du yokan, la sorte de pâte de fruit au haricots rouge que le preofesseur Haga avait ramené à ma copine Ai et qu'elle mangeait avec grande gourmandise (moi aussi d'ailleurs)... Pendant mon attente à l'embarcadère de Nagoya, j'ai acheté du yokan à la poire, au tournesol, et aux pois verts, pour le week end à Ise. C'était délicieux, sutout celui à la poire, et je me suis dit qu'il fallait absolument que j'arrive à faire ce truc-là.
C'est parti pour une recherche de recettes sur internet : ça s'avère très facile à faire ... si on maîtrise le "kanten". Le kanten, c'est une algue japonaise qui est rincée et laver mainte fois, puis séchée et stockée sous forme de parallélépipèdes de 2 x 2 x 10cm de côtés. Allez, pour les cuisinières françaises, et pour les chimistes aguerris, en Occident on appelle ça de l'agar-agar... la dernière fois que je m'en suis servi c'était en Bretagne pour faire du papier recylé il y a quelques années.
Bref, je demande à Ai où trouver du kanten en poudre (les recettes disent qu'il le faut en poudre), et elle me dit qu'au Japon il n'y en a qu'en parallélépipède. Ah, bon. Ben allons pour le parallélépipède... Je dégotte une recette avec le parallélépipède, mais les quantités ne sont pas claires, enfin j'essaie quand même. Le résultat est pas si mal que ça, mais quand même pas au point : pas assez sucré, et surtout de consistence pas du tout assez dure! D'accord l'apparence n'est pas très engageante...mais c'est aussi à caus de la pâte de haricot : j'ai pris de la "tsubu-an", avec les haricots encore à moitié entiers, au lieu de prendre de la "koshi-an", où tout est bien broyé...
J'amène ça le lendemain à Doshisha pour faire goûter à Michiko et Antoine ... Michiko aime bien (ou alors c'est pour me faire plaisir, mais elle se ressert plusieurs fois quand même), Antoine pas du tout! Bon, je réessaierai...
C'est parti pour une recherche de recettes sur internet : ça s'avère très facile à faire ... si on maîtrise le "kanten". Le kanten, c'est une algue japonaise qui est rincée et laver mainte fois, puis séchée et stockée sous forme de parallélépipèdes de 2 x 2 x 10cm de côtés. Allez, pour les cuisinières françaises, et pour les chimistes aguerris, en Occident on appelle ça de l'agar-agar... la dernière fois que je m'en suis servi c'était en Bretagne pour faire du papier recylé il y a quelques années.
Bref, je demande à Ai où trouver du kanten en poudre (les recettes disent qu'il le faut en poudre), et elle me dit qu'au Japon il n'y en a qu'en parallélépipède. Ah, bon. Ben allons pour le parallélépipède... Je dégotte une recette avec le parallélépipède, mais les quantités ne sont pas claires, enfin j'essaie quand même. Le résultat est pas si mal que ça, mais quand même pas au point : pas assez sucré, et surtout de consistence pas du tout assez dure! D'accord l'apparence n'est pas très engageante...mais c'est aussi à caus de la pâte de haricot : j'ai pris de la "tsubu-an", avec les haricots encore à moitié entiers, au lieu de prendre de la "koshi-an", où tout est bien broyé...
J'amène ça le lendemain à Doshisha pour faire goûter à Michiko et Antoine ... Michiko aime bien (ou alors c'est pour me faire plaisir, mais elle se ressert plusieurs fois quand même), Antoine pas du tout! Bon, je réessaierai...
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