Nuit très agréable, et réveil au haut-parleur le lendemain à 7h, normal tout va bien non je ne suis pas montée dans un navire de l’armée.

Petit déjeuner au resto, 500 yen en tabehodai, avec accrochez-vous des croissants et petites brioches, tranches de pain, beurre, confiture, fruits, yaourt, lait … bon et bien sûr riz, algues, tofu, prunes saumurées, pâte d’algue (ça j’avais encore jamais goûté, ça atteint des sommets en terme de pas-bon-du-tout), etc. Le tout dans de la vaisselle type européen, très très agréable (la musique classique, toujours).

Un petit tour à l’écran de l’étage pour m’apercevoir que nous sommes presque arrivés à Nagoya ! On est dans la baie de ladite ville, et on approche du port, du gros port. Hop petite virée dehors.


Nagoya, c’est gris ! Le port est un très gros port, avec des ferry mais surtout des cargos et des usines partout, un pont sympathique quand même avec un tablier qui semble tout fin, et des autoroutes un peu partout. Bien sûr, des polders construits pour pouvoir grignoter du terrain sur cette mer envahissante…
(là y aura bientôt deux vidéos si google veut bien se bouger le popotin ...)
1 commentaire:
Les rizières.
J'ai toujours l'impression que de regarder les champs de riz te procure une grande décontraction -tout semble ralentir, comme si le champ de riz te plongeait dans un japon ancestral, mettant en suspens la frénésie de la mégalopole et ta propre course à la découverte d'un nouveau Japon. C'est la platitude de la rizière qui doit te faire cet effet!
Mon agriculture urbaine n'avance pas du tout ...
Dominique
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