Allez, petite pause ans la rédaction de mon très cher adoré mémoire de master, pour un petit post sur la journée du 11 novembre.
Au Japon, ça ne signifie rien du tout, mais comme ça tombait un dimanche, on en a profité pour aller se balader.
Le matin, j'ai enfin ouvert le boîte de chocolats qu'Hiroko m'avait offerte pour mon anniversaire, les petits chocolats étaients magnifiques, ils n'ont pas fait long feu (nan n'exagérez pas, je n'ai pas tout mangé en une seule fois!!).
Puis direction Kyoto pour retrouver les Osakaïtes et des amis japonais ... on ne verra que les japonais, les Osakaïtes ayant vraiment du mal à bouger leur popotin pour prendre le train (et dire qu'avec Antoine on le prend tous les week end ... bref).
On attend trois bon quarts d'heure puis on décide de partir, Antoine Ryuta Ai Nao et une autre japonaise dont j'ai oublié le nom. Tant pis, les osakaïtes nous retrouverons plus tard.
On prend le train vers le nord de Kyoto, et on se retrouve en quelques arrêts en pleine campagne, difficile d'imaginer que nous sommes si près de Shijo-dôri avec ses departo (les grands magasins japonais) et les galeries marchandes de Teramachi...
Petite photo de nos amis devant la porte de la Shugakuin (ancienne petite villa impériale).
Nous nous installons tant bien que mal dans un coin pour pique-niquer, après s'être fait jetés d'un superbe endroit avec des arbres et une jolie vue ... mais privé. Je ne sais plus lequel des japonais a apporté une bouteille de vin, et Ryuta se charge de l'ouvrir, puis de la goûter, avant de la faire tourner ... on dirait une bouteille de Coca!! C'est très drôle de les voir boire au goulot ce truc (déjà c'était du vin, j'aime pas ça, mais en plus au Japon, du pas cher, ça devait vraiment être horrible), comme si on passait le plat de salade ... enfin on rigole bien, surtout avec la tête de Ryuta qui découvre quel goût ça a.
Les Osakaïtes arrivent enfin, avec Félix, Yuko, Brook, Masae, puis plus tard Tetsu puis Amandine. On rigole bien, et eux s'installent pour pique-niquer. Quelques photos en vrac ...
Félix et Yuko pendant leur déjeuner.
Félix en train de s'occuper de son appareil photo. Mais surtout la splendide vidéo qui explique le pourquoi du titre du blog ... la vidéo Grenoble! Elle restera, celle-là ...
Tetsu m'a demandé de lui apprendre un mot difficile. J'ai rien trouvé de mieux que Grenoble, imprononçable pour un japonais...mais pas pour Tetsu!! Après quelques essais, il prononce pas si mal que ça le nom de cette ville (Agathe, ça va là-bas??), mais surtout enchaîne sur "tamura".
Ah, vous savez pas ce que c'est, tamura, hein! Il nous parle de club de foot, il n'y a pas de grand connaisseur de foot dans notre lot mais bon, on se doute que Grenoble doit avoir un PSG local, mais Tetsu insiste, "tu connais tamura??" ben non, ça doit être un joueur japonais qui joue à Grenoble, il insiste "c'est rémi qui me l'a appris!!" ah ben ça alors un français qui apprend le nom d'un japonais à un japonais ...
Au Japon, ça ne signifie rien du tout, mais comme ça tombait un dimanche, on en a profité pour aller se balader.
Le matin, j'ai enfin ouvert le boîte de chocolats qu'Hiroko m'avait offerte pour mon anniversaire, les petits chocolats étaients magnifiques, ils n'ont pas fait long feu (nan n'exagérez pas, je n'ai pas tout mangé en une seule fois!!).
Puis direction Kyoto pour retrouver les Osakaïtes et des amis japonais ... on ne verra que les japonais, les Osakaïtes ayant vraiment du mal à bouger leur popotin pour prendre le train (et dire qu'avec Antoine on le prend tous les week end ... bref).
On attend trois bon quarts d'heure puis on décide de partir, Antoine Ryuta Ai Nao et une autre japonaise dont j'ai oublié le nom. Tant pis, les osakaïtes nous retrouverons plus tard.
On prend le train vers le nord de Kyoto, et on se retrouve en quelques arrêts en pleine campagne, difficile d'imaginer que nous sommes si près de Shijo-dôri avec ses departo (les grands magasins japonais) et les galeries marchandes de Teramachi...
Petite photo de nos amis devant la porte de la Shugakuin (ancienne petite villa impériale).
Nous nous installons tant bien que mal dans un coin pour pique-niquer, après s'être fait jetés d'un superbe endroit avec des arbres et une jolie vue ... mais privé. Je ne sais plus lequel des japonais a apporté une bouteille de vin, et Ryuta se charge de l'ouvrir, puis de la goûter, avant de la faire tourner ... on dirait une bouteille de Coca!! C'est très drôle de les voir boire au goulot ce truc (déjà c'était du vin, j'aime pas ça, mais en plus au Japon, du pas cher, ça devait vraiment être horrible), comme si on passait le plat de salade ... enfin on rigole bien, surtout avec la tête de Ryuta qui découvre quel goût ça a.
Félix et Yuko pendant leur déjeuner.
Félix en train de s'occuper de son appareil photo. Mais surtout la splendide vidéo qui explique le pourquoi du titre du blog ... la vidéo Grenoble! Elle restera, celle-là ...
Tetsu m'a demandé de lui apprendre un mot difficile. J'ai rien trouvé de mieux que Grenoble, imprononçable pour un japonais...mais pas pour Tetsu!! Après quelques essais, il prononce pas si mal que ça le nom de cette ville (Agathe, ça va là-bas??), mais surtout enchaîne sur "tamura".
Ah, vous savez pas ce que c'est, tamura, hein! Il nous parle de club de foot, il n'y a pas de grand connaisseur de foot dans notre lot mais bon, on se doute que Grenoble doit avoir un PSG local, mais Tetsu insiste, "tu connais tamura??" ben non, ça doit être un joueur japonais qui joue à Grenoble, il insiste "c'est rémi qui me l'a appris!!" ah ben ça alors un français qui apprend le nom d'un japonais à un japonais ...
Là, il faut d'abord que vous regardiez la vidéo, et après vous pourrez coninuer de lire le texte :
On finit par comprendre : "tamura", c'est ... "ta mère"!!!! Une expression très utilisée dans le monde du football français ... ;) On rigole beaucoup beaucoup.
Puis on lève le camp : on longe un canal très calme pour aller vers les montagnes environnantes sensées être rouges. En effet, "koyou" en japonais c'est les feuilles rouges, autrement dit la saison où les érables deviennent rouge vif (aucun rapport à nos reflets oranges français) et où tout bon japonais va se promener pour admirer cela. Le grand problème étant d'éviter la foule, parce que quand quelque chose se passe au Japon, tout le monde y va en masse (mais alors la sacrée masse), et nous on veut surtout éviter ça.
Heureusement, ce n'est pas ce week-end que les japonais se sont passés le mot pour aller regarder koyou, et nous montons presque tout seuls dans les montagnes. Des japonaises sont venus en talons faire de la randonnée dans les montagnes, nan mais jvous jure elles sont pas nettes, mais elles montent quand même courageusement. On arrive à une sorte de premier barrage (en fait c'est pour retenir les boues quand il y a des violentes pluies ou des typhons) rempli d'herbes qui miroitent-t-o soleil d'automne.
On croise une dame qui a un chien, et les japonais adorent les petits chiens, Ai ne déroge pas à la règle, ni Ryuta d'ailleurs, et les voilà en train de faire "et le médor alors, comment il va le médor, et il est content! et il gambade, hein!" bon alors c'était pas Médor, mais vraiment ... forcément après on s'est moqués d'eux ... et le chien d'Ai (elle nous a montré sa photo) se dénomme désormais "saucisse" (on lui a expliqué l'expression française de "saucisse sur pattes").
Puis on arrive à un autre faux barrage, plus impressionnant celui-là, où il faut monter par un escalier très étroit, et d'où l'eau goûte verticalement, c'est étonnant.
Félix essaie de prendre en photo l'eau, Antoine écoutant la sagesse du maître (si ça se trouve ils parlaient de la dernière soirée au Kangaroo, mais c'est moins poétique pour le blog).
J'essaie encore et encore de prendre des photos de feuillages par en-dessous: c'est superbe en vrai, mais en photo ça rend beaucoup moins bien. Avec Félix on fait des tentatives à chaque balade ... A gauche là, je sais pas ce qu'il prend en photo, mais j'aime beaucoup la pose! Très pro!!
Les talons aiguilles finissent par bloquer, et nous sommes donc contraints de faire demi-tour. La prochaine fois on dira d'emmener des affaires de randonnées en haute montagne ...
Au retour, soleil dans le visage, c'est chouette!Félix prend le relais d'Amandine et dispense les cours de français à Masae et Tetsu qui emmènent partout avec eux leur cahier de français en quête d'une explication sur cette langue si tordue...
Au coucher de soleil, un pin se découpe sur le fond bleu, mais la photo est un peu floue ... tant pis c'est quand même joli.
Puis retour à la gare, on quitte les osakaïtes, et retour à Mukaijima ...
Au coucher de soleil, un pin se découpe sur le fond bleu, mais la photo est un peu floue ... tant pis c'est quand même joli.
Puis retour à la gare, on quitte les osakaïtes, et retour à Mukaijima ...
2 commentaires:
On peut quand même rendre hommage aux talons aiguilles qui sont allés aussi loin qu'ils le pouvaient, et puis de toutes façons on n'a pas pu continuer très loin non plus...
Enfin c'était une chouette balade et on s'en refait une autre demain, pas de crève qui tienne, non mais, est-ce que moi je me plains d'être en sandales? :D
oui tout à fait j'ai pas assez insisté sur le courage des talons aiguilles, merci Félix.
Bon par contre j'ai pas trouvé d'huile de foie de morue, donc ma crève s'arrange pas, je peux pas sortir de chez moi, va vraiment falloir que vous veniez jusqu'à Mukaijima ... ça vous fera voir du pays! hihi
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