Cette fois-ci, c'est à Nara que nous avions rencontré cette famille avec Camille, alors que nous étions perdus et qu'ils nous avaient indiqué le chemin ... pour nous récupérer ensuite quelques heures plus tard, sous la pluie, et nous prendre en stop pour nous amener à la gare!
Et voilà après plusieurs vaines tentatives de se revoir, on a enfin réussi! Ils sont venus me chercher en voiture à Mukaijima (c'est la famille Kinbara, la petite fille s'appelle Miki, comme la maman de la famille Kondo de Tokyo!! こんばん は !!), et m'ont emmené dans un restaurant ... DE TOFU!!!!!
J'ai serré les fesses (enfin surtout l'estomac), et j'ai tout mangé ... enfin presque tout, parce qu'il y a un truc où j'ai vraiment pas pu. L'endroit était très sympathique : on entre par une allée latérale, qui mène à de petites pièces où il y a une ou deux tables, et les dames viennent nous servir dans les salles.
Donc, c'était un resto végétarien, où ils essaient de faire le maximum au tofu. Ca a commencé par du tofu au sésame : c'est un tofu marron, mais qui a une consistence beaucoup moins ferme que le tofu blanc normal, tirant plus vers la crème ... pas top du tout. Je buvais plein de thé pour faire passer (nan mais vous immaginez, moi, boire du thé pour faire passer un aliment ... alors qu'en arrivant je pouvais pas boire une gorgée de thé ...). Ce tofu marron était accompagné de la chose que je n'ai pas pu manger : une sorte de bouillie blanche, à consistence gluante, rien que d'y penser ça me donne la nausée. Il faut verser ça sur son riz blanc... Les français du Japon là, vous voyez de quoi je parle? Vous connaissez le nom de ce truc infâme? Donc j'ai pas versé cette mixture sur mon riz, j'en ai mangé un petit peu du bout des baguettes mais entre vomir à table et ne pas manger je me suis dit que la seconde solution passerait quand même mieux.
Ensuite sont arrivés en vrac des brochettes de tofu blanc badigeonné de crème au miso vert (je n'ai pas bien compris encore ce que c'est que le miso, mais c'est un truc fermenté qu'ils mettent dans l'eau pour faire de la soupe miso et ça a l'apparence de poudre blanche, quand c'est une peu plus épais ça fait une sauce marron (c'est le "miso rouge"), et là j'ai découvert le miso vert, j'essayais de faire disparaître en pensée le goût du miso et surtout la texture pour ne penser qu'au bon tofu blanc en dessous - là encore, c'est incroyable, quand je suis arrivée a Japon, vous ne m'auriez pas fait avaler une cuillérée de tofu, quel qu'il soit!!
Donc, c'était un resto végétarien, où ils essaient de faire le maximum au tofu. Ca a commencé par du tofu au sésame : c'est un tofu marron, mais qui a une consistence beaucoup moins ferme que le tofu blanc normal, tirant plus vers la crème ... pas top du tout. Je buvais plein de thé pour faire passer (nan mais vous immaginez, moi, boire du thé pour faire passer un aliment ... alors qu'en arrivant je pouvais pas boire une gorgée de thé ...). Ce tofu marron était accompagné de la chose que je n'ai pas pu manger : une sorte de bouillie blanche, à consistence gluante, rien que d'y penser ça me donne la nausée. Il faut verser ça sur son riz blanc... Les français du Japon là, vous voyez de quoi je parle? Vous connaissez le nom de ce truc infâme? Donc j'ai pas versé cette mixture sur mon riz, j'en ai mangé un petit peu du bout des baguettes mais entre vomir à table et ne pas manger je me suis dit que la seconde solution passerait quand même mieux.
Ensuite sont arrivés en vrac des brochettes de tofu blanc badigeonné de crème au miso vert (je n'ai pas bien compris encore ce que c'est que le miso, mais c'est un truc fermenté qu'ils mettent dans l'eau pour faire de la soupe miso et ça a l'apparence de poudre blanche, quand c'est une peu plus épais ça fait une sauce marron (c'est le "miso rouge"), et là j'ai découvert le miso vert, j'essayais de faire disparaître en pensée le goût du miso et surtout la texture pour ne penser qu'au bon tofu blanc en dessous - là encore, c'est incroyable, quand je suis arrivée a Japon, vous ne m'auriez pas fait avaler une cuillérée de tofu, quel qu'il soit!!
Heureusement, avec tout ça, il y avait quand même du tofu blanc, des gros carrés dans un nabé (une popotte qui chauffe sur une flamme) avec de l'eau bouillante. Ouf, ça détendait un peu les papilles. J'en ai repris souvent ... malheureusement la famille insistait pour que je l'inonde de sauce soja, ce qui ne m'enchantait pas vraiment. Mais avec des petits poireaux coupés très fin ça passait mieux.
Entre temps, des tempura de légumes sont arrivés : aubergine et daikon en saumure, carottes marinées au vinaigre, et feuilles de shiso. J'ai fermé mes sens lors de l'avalage des légumes, par contre pour la feuille de shiso j'ai tout ouvert, c'est délicieux le shiso! On n'a pas ça en France, pourtant ici ça pousse comme du chien-dent, c'est un genre de menthe avec un petit goût citronné très délicat, qui accompagne souvent les sashimi.
J'ai presque espéré qu'il y aurait des gâteaux au tofu en dessert, vu que la dernière fois avec Haga et Michiko c'était très bon. Mais non, j'ai dû rester sur mon tofu en plat salé ... mais j'étais fière de moi d'avoir presque tout mangé!!
Après tout ça, on s'est dirigés vers le Nanzen-ji, un autre temple super vachement important de Kyoto que je n'avais pas eu le temps de visiter. Accolé au temple se trouve une sorte d'aqueduc en brique, tout droit sorti de la révolution industrielle européenne, et qui a été construit lorsque le Japon s'est ouvert au monde extérieur pour acheminer les denrées depuis le lac Biwa-ko jusqu'à Kyoto. En fait, en haut de cet "aqueduc" il y a un canal, large d'environ 1,50m, où circulaient des barques très étroites qui se laissaient porter par le courant (costaud le courant, promis!!) depuis Biwa-ko jusqu'à Nanzen-ji.
Maintenant, les barques ne circulent plus, mais l'eau continue de couler et on peut monter en haut de l'aqueduc pour observer l'ouvrage d'art.
Nous ne sommes pas rentrés à l'intérieur du temple (ce qui m'allait très bien), mais Miki a voulu poser ... réflexe du V!!
On s'est fait une petite photo avec retardateur dans une arche de l'aqueduc quand même...
Puis on remonte en voiture pour aller après de longues délibérations au Suzumushidera : c'est un tout petit temple perdu dans les hauteurs de Kyoto, et dédié aux ... suzumushi, ou autrement dit aux "criquets à cloche" (Homoeogryllus japonicus). Le principe, c'est que normalement ces bestioles hibernent, mais là les moines les enferment dans des cages chauffées (les criquets eux au moins ils ont droit au chauffage!!) pour les maintenir en état éveillé, et les criquets chantent toute l'année! Trop d'la balle!! Ainsi, on peut venir faire des vœux toute l'année (les plus demandés sont : guérir d'une maladie, avoir un enfant, et rencontrer l'homme/la femme de sa vie), c'est quand même super pratique. On a grimpé une bonne volée de marches, puis on a eu droit à boire du thé pendant que le moine en chef parlait de l'histoire du temple, que je n'ai malheureusement pas comprise, et qui semblait trop compliquée pour que la famille m'explique ensuite lentement en japonais.
Avec le thé, on a eu une petite sucrerie, mais au lieu que ce soit un gâteau, c'était une sorte de carré de sucre ... de criquet! Je ne sais pas comment c'est fait, j'ai préféré ne pas trop savoir (vous avez déjà senti l'intérieur d'une caisse remplie de criquets? ben ça pue!!), mais c'était pas si catastrophique, plutôt pas de goût, blanc-gris, avec des petits points noirs dedans. Je n'avais pas le droit de prendre des photos ... :(
Petite déambulation dans le jardin du temple, qui contient de beaux bambous, pusi redescente des marches.
Ensuite ils ont voulu qu'on aille manger des gâteaux, mais pas de place, du coup ils en ont juste acheté plein qu'ils ont ensuite oublié dans le coffre, et puis en sortant de la voiture pour aller avec eux j'ai fait tomber mon appareil photo sur le bitume ... et il ne marchait plus après ... j'étais triste, surtout 2 jours avant de partir à Kyushu ... trèèèèès triste...
On a cherché un resto pour dîner mais il y avait du monde partout, du coup ils m'ont ramenée à Mukaijima où là, il y avait de la place!! Tu m'étonnes ... On a fini dans un truc bizarre, où ils servaient des """""steak hachés""""" accompagnés de divers ingrédients, mais alors les steaks hachés japonais sont cuits à l'eau bouillante (c'est pas une blague), donc imaginez le goût que ça peut avoir ...
Heureusement ensuite je suis allée manger "pour de vrai" chez Antoine qui m'a fait un plat de pâtes (avec du steak haché aussi mais moins pire), ça fait du bien.
Puis au lit, avec cette histoire d'appareil photo dans la tête qui tourne et qui m'empêche de dormir...
Après tout ça, on s'est dirigés vers le Nanzen-ji, un autre temple super vachement important de Kyoto que je n'avais pas eu le temps de visiter. Accolé au temple se trouve une sorte d'aqueduc en brique, tout droit sorti de la révolution industrielle européenne, et qui a été construit lorsque le Japon s'est ouvert au monde extérieur pour acheminer les denrées depuis le lac Biwa-ko jusqu'à Kyoto. En fait, en haut de cet "aqueduc" il y a un canal, large d'environ 1,50m, où circulaient des barques très étroites qui se laissaient porter par le courant (costaud le courant, promis!!) depuis Biwa-ko jusqu'à Nanzen-ji.
Maintenant, les barques ne circulent plus, mais l'eau continue de couler et on peut monter en haut de l'aqueduc pour observer l'ouvrage d'art.
Nous ne sommes pas rentrés à l'intérieur du temple (ce qui m'allait très bien), mais Miki a voulu poser ... réflexe du V!!
On s'est fait une petite photo avec retardateur dans une arche de l'aqueduc quand même...
Puis on remonte en voiture pour aller après de longues délibérations au Suzumushidera : c'est un tout petit temple perdu dans les hauteurs de Kyoto, et dédié aux ... suzumushi, ou autrement dit aux "criquets à cloche" (Homoeogryllus japonicus). Le principe, c'est que normalement ces bestioles hibernent, mais là les moines les enferment dans des cages chauffées (les criquets eux au moins ils ont droit au chauffage!!) pour les maintenir en état éveillé, et les criquets chantent toute l'année! Trop d'la balle!! Ainsi, on peut venir faire des vœux toute l'année (les plus demandés sont : guérir d'une maladie, avoir un enfant, et rencontrer l'homme/la femme de sa vie), c'est quand même super pratique. On a grimpé une bonne volée de marches, puis on a eu droit à boire du thé pendant que le moine en chef parlait de l'histoire du temple, que je n'ai malheureusement pas comprise, et qui semblait trop compliquée pour que la famille m'explique ensuite lentement en japonais.
Avec le thé, on a eu une petite sucrerie, mais au lieu que ce soit un gâteau, c'était une sorte de carré de sucre ... de criquet! Je ne sais pas comment c'est fait, j'ai préféré ne pas trop savoir (vous avez déjà senti l'intérieur d'une caisse remplie de criquets? ben ça pue!!), mais c'était pas si catastrophique, plutôt pas de goût, blanc-gris, avec des petits points noirs dedans. Je n'avais pas le droit de prendre des photos ... :(
Petite déambulation dans le jardin du temple, qui contient de beaux bambous, pusi redescente des marches.
Ensuite ils ont voulu qu'on aille manger des gâteaux, mais pas de place, du coup ils en ont juste acheté plein qu'ils ont ensuite oublié dans le coffre, et puis en sortant de la voiture pour aller avec eux j'ai fait tomber mon appareil photo sur le bitume ... et il ne marchait plus après ... j'étais triste, surtout 2 jours avant de partir à Kyushu ... trèèèèès triste...
On a cherché un resto pour dîner mais il y avait du monde partout, du coup ils m'ont ramenée à Mukaijima où là, il y avait de la place!! Tu m'étonnes ... On a fini dans un truc bizarre, où ils servaient des """""steak hachés""""" accompagnés de divers ingrédients, mais alors les steaks hachés japonais sont cuits à l'eau bouillante (c'est pas une blague), donc imaginez le goût que ça peut avoir ...
Heureusement ensuite je suis allée manger "pour de vrai" chez Antoine qui m'a fait un plat de pâtes (avec du steak haché aussi mais moins pire), ça fait du bien.
Puis au lit, avec cette histoire d'appareil photo dans la tête qui tourne et qui m'empêche de dormir...
11 commentaires:
Le restaurant de Tofu !! T'as pas de chance parfois :P Pour ce qui est de la "bouillie blanche" ça me fait penser au yuba, la "crème" du lait de soja se formant quand on fait le tofu, mais je suis pas sûr, parce que j'en ai jamais mis sur mon riz. J'aime le yuba (^_^)v ! Pour le gomadofu, c'est vrai que la consistance est différente, mais toujours aussi bon à mes yeux (à noter qu'au supermarché même le tofu "normal" se décline en plusieurs textures : normal, soyeux (pas mal le soyeux), friable, légèrement yaki sur chaque face, et bien sûr le agedofu (frit !)). Vive le tofu !
Le Nanzen-ji c'est un de mes temples coup de coeur. Petite anecdote, on voit Scarlett Johanson passer l'imposante porte dont je ne me rappelle plus le nom lors de son voyage à Kyoto dans Lost In Translation. Et sans le savoir tu as répondu à une de mes grandes interrogations : peut-on ressortir indemne du cours d'eau ? Apparemment oui, si on faisait passer des barques dessus c'est qu'il ne doit pas y avoir de passages trop dangereux. Et oui, parfois j'ai des idées très bêtes comme celle-ci. Enfin, si on continue sur la droite en allant voir en haut de l'aqueduc on tombe sur la station envoyant l'eau du Biwa-ko dans d'énormes canalisations vers Kyoto (et là, je pense qu'il vaut mieux éviter de jouer à la rivière sauvage). Pour les curieux, il y a même le musée du canal de Biwa-ko à visiter en redescendant vers le sud (vers le zoo de Kyoto et Heian-jingu). J'aime le Nanzen-ji aussi (^_^)
"yuba" tu dis ... j'ai cherché des images sur internet j'ai pas trouvé vraiment quelque chose qui se rapprochait de ce que j'ai mangé. C'était vraiment très visqueux et gluant et à mon avis ça peut faire de la concurrence à la super glue. Les autres, vous voyez pas ce que je veux dire??
Sur ton idée très bête, j'avoue avoir eu la même : tu prends un petit kayak, et yop là c'est partiii!! Ca doit être faisable, donc. Dis-moi, t'y es allé combien de fois au Nanzen-ji pour être calé comme ça ...? ;)
Euh, je sais plus exactement combien de fois f(^_^). Je suis un geek...
Pour le truc blanc visqueux, je laisse tomber. Bon j'ai bien une idée, mais ça m'étonnerait étant donné que tu étais dans un resto à tendance végétarienne... allez je me lance : kumoko !! (deux points d'exclamations, parce que ça fait 5 minutes que je cherche le nom) Quoique, non ça peut pas être ça, c'était pas gluant à ce point, juste très repoussant une fois qu'on sait ce que c'est. D'ailleurs je ne sais pas si tu veux vraiment savoir ce que c'est... On verra demain, là je vais me coucher :P
Ah et pour revenir à mon idée très bête, je suis très extrême : j'avais même pas pensé au kayak, juste comme ça, à l'arrache...
Le kumoko, c'est pas le sperme de poisson par hasard?? Parce que les master du labo ont voulu me faire mettre ça dans le nabe, mais j'ai refusé net!! Mais non c'était pas ça, je pense que c'était ton yuba, mais c'était vraiment ... visqueux quoi. Bref. Pour le canal ah oui tu y vas fort, mais pourquoi pas! :) Bonne nuit, et merci pour tous tes nombreux et fort intéressants commentaires!!
Ton truc gluant ça me fait juste penser à l'"écume" du nato, le truc qui fait que n'importe quel fromage fondu est ridicule à côté...
Mais ça me fait penser à un autre truc aussi, j'ai gouté une fois et on ne m'y reprendra plus...
Effectivement t'as pas eu de chance, enfin moi j'ai me assez bien le tofu mais je pense que je me ferais vite chier les papilles dans un restaurant de tofu. Surtout si t'as même pas droit au tofu sucré qui est quand même très bon!
Ils sont quand même sympas les japonais, ils savent tellement que leur bouffe n'a pas de goût qu'il faut systématiquement que tu mettes de la sauce, sinon tu passes pour un hérétique... Tu me diras, des plats français (certains) sans sauce c'est bizarre mais bon, manger une salade sans vinaigrette c'est pas la mort, ici si t'oublies de mettre de la sauce soja sur quoi que ce soit on te regardes encore plus bizarrement que d'habitude.
le truc blanc ressemblait en effet à l'écume du nato, mais heureusement il n'y avait pas ce goût abominable. Je pense que c'est le deuxième truc que tu as goûté un jour ... ça marque ce genre d'expérience! Le tofu, maintenant ça va, j'aime bien le blanc tout bête qui a un petit goût d'omelette, et le agedofu aussi passe sans problème. C'est juste que quand ils se mettent à faire des variations sur le thème du tofu, ça devient vraiment n'importe quoi!! J'ai jamais goûté le tofu sucré, où est-ce qu'on trouve ça??
Et puis sur la sauce soja, oui, tu passes pour un énergumène vraiment très très bizarre si tu n'en mets pas partout ... mais si t'en mets dans un bol de riz blanc, là c'est sacrilège et tu passes pour un gaijin complètement non civilisé!!!
Le tofu sucré j'avais goûté dans un izakaya à côté de la gare Hankyu d'Umeda, c'était vraiment bon, heureusement d'ailleurs parce que sinon cet endroit était naze, mais je pense qu'on peut en trouver dans d'autres izakaya, sinon demande à Ai elle saura peut-être t'en trouver ou t'en préparer, ça serait dommage de ne pas goûter avant de partir!
C'est bien ça, kumoko = laitance de morue. D'après ce qu'on m'a dit c'est super sain (comme tout ce qui est inmangeable au Japon, "mais si vas-y, c'est bon pour la santé). Mon conseil de dégustation : noyé dans le shoyu (je savais pas qu'on pouvait en mettre dans le nabe, et j'ai pas envie d'essayer). Le shoyu permettra d'éviter d'avoir le goût du kumoko dans la bouche pendant tout le repas et même encore après. Beurk...
oui voilà, c'est toujours bon pour la santé ... mon oeil, c'est bon pour se moquer des gaijin oui!! Enfin je vais pas tester. Le nabe c'est très bon sans ça!!
Alala depuis que t'es rentrée Elia, j'avoue que j'avais un peu laché le blog, vu que je t'avais en vrai, mais je me marre bien en lisant tout ça que j'avais en retard. Mais bon il suffit que tu sois partie en symposium à Ghent, et hop je m'y remet !
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